Il faut partir du principe que la sécurité informatique totale de l'entreprise, c'est-à-dire garantie à 5/5, est une utopie. Cependant, il est toujours bon de rappeler qu'il n'y a pas de protection sans politique de sécurité. Nous entendons par là un plan stratégique pour organiser la confidentialité et l'intégrité informatique et gérer tous les aspects qui y sont liés.
Ce qu'est la sécurité informatique au sens large
Ce système consiste à protéger les ordinateurs et les réseaux contre les logiciels malveillants et les pirates tout en préservant l'intégrité d'internet et des réseaux physiques. Geek vous donne plus de clarifications sur la sécurité informatique. En effet, dans ce programme, les facteurs physiques et numériques sont pris en compte, car l'un ou l'autre peut compromettre l'intégrité du système. Les principaux domaines couverts comprennent la sécurité de l'accès physique, la protection du système d'exploitation et la protection des données, ainsi que l'accès au réseau. L'objectif de ce système est de réduire au maximum ces risques et d'utiliser des contre-mesures pour gérer les problèmes de sécurité le plus rapidement possible. L'accès physique est l'un des facteurs les plus critiques dans la protection des systèmes et des réseaux informatiques. Même si des mesures sont prises pour crypter les données et bloquer l'accès au réseau, celles-ci seront inutiles si quelqu'un vole le système physique.
Les points fondamentaux pour assurer une sécurité informatique correcte
Pour mettre en place une sécurité informatique adéquate, il faut la disponibilité des données, ce qui veut dire la sauvegarde des actifs informationnels en garantissant l'accès, l'utilisabilité et la confidentialité des données. Du point de vue de la gestion de la sécurité, cela signifie réduire les risques liés à l'accès d'informations et vols de données. Il faut ensuite l'intégrité des données, entendue comme une garantie que les informations ne subissent pas de modifications ou d'annulations à la suite d'erreurs ou d'actions volontaires et également à la suite de dysfonctionnements ou de dommages aux systèmes technologiques. Et il ne faut sûrement pas oublier la confidentialité informatique, c'est-à-dire la gestion de la sécurité de manière à atténuer les risques associés à l'accès ou à l'utilisation d'informations sous une forme privée.